Stage au "Point Ephémère" - Centre artistique
Gul Bolat est en stage au Point éphémère à Paris, un centre de dynamiques artistiques mené par l'équipe d'Usines Éphémères qui, depuis vingt ans, transforme des bâtiments en déshérence en espaces artistiques temporaires.
- Comment as-tu obtenu ce stage ?
On m'avait beaucoup parlé du Point Éphémère, j'ai vu une annonce sur le site Profil Culture pour un stage d'une durée de 6 mois dans la communication, j'ai postulé. J'ai passé un premier entretien en visio puis je me suis rendue à Paris pour voir le lieu et rencontrer la directrice. La jour même, j'étais prise.
C'est un lieu qui m'attirait beaucoup pour de multiples raisons : son envie de mettre en avant des artistes en ascension ou reconnus ; le soutien qu'ils apportent à la création notamment via les diverses résidences d'artistes ; les studios d'enregistrement pour les musiciens ; mais aussi la programmation très variée (concerts, danse, rencontre, expos) en particulier la programmation musique : l'un des principaux atouts du Point Éphémère qui me correspond particulièrement : Rock indie expérimental...
C'est un lieu de diffusion, de rencontre, avec un bar et une ambiance très cool : le lieu est assez underground et c'est aussi cela qui m'a attiré.
- Quelles sont tes missions ?
J'assiste l'équipe communication : je m'occupe des réseaux sociaux (Facebook, Twitter, Soundcloud, et la création d'une page Instagram), du site internet et de l'appli Android (mises à jour). Je prends des photos des différents évènements. Je mets les places en vente sur Fugitive et le site de la FNAC. Je complète la revue de presse. Enfin, je suis responsable de la signalétique du lieu (affiches qui annoncent concerts et événements) et des échanges de visibilités avec les autres lieux culturels parisiens.
Toutes ces missions sont uniquement à ma charge.
Je circule dans le lieu, je ne suis pas tout le temps au bureau ce que j'apprécie particulièrement. Je suis très satisfaite car en plus de mes missions je touche un peu a tout !
- Veux-tu continuer dans cette voie ?
Au début oui, pour mon carnet d'adresse et parce que cela est très formateur, mais je ne me vois pas dans la communication pure et dure pendant plusieurs années.
À terme, je voudrais devenir agent d'artiste plasticien mais je vais également continuer en parallèle dans la rédaction pour le webzine sur la culture moderne et underground Gradient Mag avec lequel je collabore depuis un an.
Voir d'autres actualités
L’ICART sous les feux de la Fête des Lumières
Du 5 au 8 décembre 2024, la Fête des Lumières a éclairé les rues de Lyon, attirant plus de 2 millions de visiteurs émerveillés. Cette 25e édition, marquée par des installations lumineuses spectaculaires, a vu comme chaque année – grâce à un partenariat exclusif entre l’école de médiation culturelle ICART et la Fête des Lumières – la participation active de nos étudiants.
lire la suiteL'ICART : Partenaire du Prix Marcel Duchamp pour la 7e année consécutive
L'ICART est fière d'être partenaire de l'ADIAF (Association pour la Diffusion Internationale de l'Art Français) dans le cadre du prestigieux Prix Marcel Duchamp. Cet événement phare du monde de l'art contemporain, créé en 2000 en collaboration avec le Centre Pompidou, met à l'honneur les talents émergents de la scène artistique française.
lire la suiteClémence Buisson, de l’ICART à la Comédie-Française
Rencontre avec Clémence Buisson, diplômée de l’école de médiation culturelle ICART en 2018, aujourd’hui attachée de production à la prestigieuse Comédie-Française. Elle nous partage son parcours, ses souvenirs d’étudiante et ses conseils aux étudiantes et étudiants.
voir la vidéo