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Stage au Théâtre Mogador : l’expérience de Bastien

Bastien, étudiant en 4e année à l'école de médiation culturelle ICART, est en stage au Théâtre Mogador, le temple parisien des Comédies Musicales. Découvrez son témoignage. 

Théâtre Mogador à Paris

© Sébastien NEPVEU

Pouvez-vous vous présenter et nous parler de votre parcours ?

Depuis petit, mes parents m’ont fait découvrir le théâtre en m’amenant voir des spectacles. J’ai voulu découvrir et me familiariser avec ce secteur lors de mon stage d’observation en 3ème au collège, que j’ai effectué dans un théâtre municipal. 

À l’issue de mon bac ES, j’ai fait une licence de langues étrangères, dans un parcours commerce international, n’imaginant pas que des études dans le secteur culturel étaient possibles. 

Après 3 ans de cours à l’université, j’ai entrepris mon master à l’école de médiation culturelle ICART, en rejoignant le cursus Ingénierie Culturelle & Management. 

"Rejoindre l’école de management culturel ICART m’a conforté dans mon choix de travailler dans le secteur du spectacle vivant."

Pourquoi avoir choisi ce stage au Théâtre Mogador ?

Le Théâtre Mogador est souvent appelé le temple de la comédie musicale. Alors quoi de mieux pour un fondu de ce type de spectacle que de faire son stage dans ce lieu prestigieux ?

Cette entreprise est une institution dans le milieu du spectacle vivant et je voulais absolument la rejoindre pour mon stage. J’ai donc tout fait pour réaliser le meilleur entretien et ainsi maximiser mes chances d’être embauché. 

Le Théâtre recherchait un stagiaire au service commercial, en appui sur les tâches quotidiennes du service, sur les missions de diversité et inclusion des publics et sur l’organisation de l’exposition autour du spectacle du Roi Lion, des missions très diversifiées, qui me plaisaient grandement !

Pouvez-vous nous donner un aperçu de votre quotidien et des défis que vous devez relever ? 

Il faut savoir jongler entre différentes tâches et missions très diverses : les tâches commerciales (gestion de bons de commande, relances téléphoniques de clients, fournir des visuels pour nos revendeurs), les missions de diversité et inclusion des publics (organisation et communication autour des séances adaptées aux personnes en situation de handicap sensoriel, gestion de la venue de 150 collégiens d’une zone prioritaire éloignée de la culture), ou encore gérer tout le travail autour de l’exposition consacrée au spectacle Le Roi Lion, au sein du théâtre. 
Il faut donc être à l’aise avec le travail de dernière minute et les deadlines qui peuvent parfois être très courtes…
 

Bastien étudiant de l'ICART Paris à l'exposition du Roi Lion

Bastien à l'exposition du Roi Lion, lors d'une visite aux spectacteurs © Héloïse CAMACHO​

Quelle a été, d’après vous, votre principale force pour décrocher ce stage ?

Je pense que ma principale force pour avoir décroché ce stage, a été de démontrer ma capacité d’adaptation aux différentes missions... et peut-être la passion aussi !

En quoi votre formation à l’école de médiation culturelle​ ICART vous aide dans vos missions ?

Ma formation à l’ICART m’aide au quotidien dans mon stage. En effet, les cours dispensés à l’école et notamment ceux des spécialités m’ont permis de connaître de nombreuses spécificités du secteur du spectacle vivant. Je n’étais donc pas perdu lors de mes premiers jours de stage. 

"Aussi, les professionnels intervenus tout au long de l’année à l’école de médiation culturelle​ ICART, ont fait part des enjeux et problématiques des secteurs culturels. Ces rencontres, très formatrices, m’ont donné un premier aperçu de la vie au sein d’une entreprise du milieu culturel, et m’ont permis d’être plus à l’aise lors de mon stage."

Des conseils que vous voudriez donner à un étudiant qui voudrait intégrer notre école et faire un stage dans le spectacle vivant ?

Si un étudiant souhaite travailler dans ce secteur, que c’est sa passion, alors il faut foncer. Il faut avoir confiance en soi et en son projet professionnel. Aussi, il ne faut pas se décourager à la moindre embuche, il faut persister et ne pas baisser les bras !

Enfin je dirais qu’il ne faut pas hésiter à poser des questions, contacter des professionnels, pour éclairer certaines zones d’ombre. 

 

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